Et la solitude, alors ?...

Je ne participe pas aux discussions médicales ou scientifiques

c'est peut être comme ça que l'obscurantisme se répand?

Nous avons tous hérité de prédispositions issues de notre patrimoine génétique :

des caractéristiques physiques et intellectuelles,

se passe de commentaires ...

je commente quand même car je ne peux pas m'en passer:
Tout est déja écrit alors?
De plus l'article parle de PRÉDISPOSITIONS , il parle aussi d'influences extérieures, ce qui n'a rien à voir avec le gène de la maladie?

Et alors, chacun croit ce qu'il veut mon cher Pascal.
Tu as tes certitudes, j'ai les miennes, il n'y a pas de raison d'être suffisant et provocateur !

Aubert,
Où est la suffisance et la provocation??
A+
François

J'emmets une hypothèse, quand je parle de gène de la solitude; je ne prétends pas avoir la science infuse !

Je crois que depuis le début il y a un manque de compréhension de part et d'autre.
Il est effectivement de plus en plus avéré que la façon de supporter d'être seul pourrait être en lien avec des prédispositions génétiques, c'est-à-dire que l'isolement ne dérange pas certaines personnes tandis que d'autres ne se sentent bien qu'entourées mais ce n'est pas un gène qui provoque la solitude, d'ailleurs je ne comprends même pas ce que ça signifie vraiment. Ce serait comme dire qu'il y a un gène de l'amitié. Certains se font plus facilement des amis que d'autres c'est vrai mais il faut aussi savoir aller vers les autres, ça ne vient pas tout seul.
Aubert, tu n 'as pas détaillé ce que tu voulais dire par gène de la solitude, explique toi !

Chère Isa, tu es bien la seule à vouloir couper les cheveux en 4, sur ce sujet, qui n'intéresse pas grand monde.
Je crois néanmoins m'être déjà bien expliqué, en disant que j'étais seul depuis que je suis tout petit, même si parfois je m'exclue de moi-même de certains groupes.

Comme ce phénomène est récurrent chez moi, j'emmettais l'hypothèse qu'il y ait un gène de la solitude à la base. Comme la plupart des membres de ce forum la rejettent, je n'en parle plus ... que dans ce dernier message, mais je ne suis toujours pas persuadé que tout cela soit faux

Oui mais j'en reviens toujours à la même question : est-ce que la solitude te dérange ou pas, c'est là toute la différence car si elle est subie, ça n'a rien à voir...
Tiens en ce moment par exemple, certains étudiants supportent mieux que d'autres l'isolement.

Tu joues sur les mots ma chère Isa.
Enfin, pour bien te mettre les points sur les i, oui, la solitude me dérange dans l'absolu.

Par contre, dans ce foyer où je suis depuis 5 mois maintenant, comme il n'y a presque exclusivement que des hommes, et que je ne recherche pas cette compagnie, je me me réfugie souvent dans ma chambre, oui.

Non Aubert, je ne joue pas sur les mots car tu pourrais en partie avoir raison seulement si tu apprécie la solitude et que tu n'éprouves pas le besoin d'aller vers les autres. Si tu aimes la compagnie et que par la force des choses tu es isolé, c'est bien différent dans ce cas-là. La maladie peut aussi fausser les données, si les gens t'excluent à cause de ta différence. Par exemple, comme dit dans un autre sujet de discussion, s'ils ont l'impression que tu es ivre en permanence...

Je ne sais pas s'il faut mêler le syndrôme cérébelleux à tout cela.
Qu'est-ce que cela apporterait de plus ou de moins ?

C'était ta propre question d'origine !!!
Je suppose que beaucoup de malades, par leurs problèmes de déplacement, de fatigue et d'élocution n'ont pas une vie sociale très riche....

Je note que tu ne réponds pas à la question ...

Tout simplement parce que je ne la comprends pas ! Ca veut dire quoi, ce que ça apporterait de plus ou de moins ?
Quand tu as ouvert le sujet, tu semblais insinuer que le SC avait un rapport avec la solitude et là, tu paraîs penser le contraire. J'ai l'impression que c'est une discussion de fous donc on va s'arrêter car on tourne en rond...